Rapport d’activité 2021

Une vacance locative en baisse en 2021

Rapport d’activité 2021 / Contribuer à une économie durable  / Une vacance locative en baisse en 2021

La maîtrise de la vacance est un enjeu majeur pour Inolya car elle impacte directement notre résultat. Comme en 2020, l’année 2021 a été impactée par la pandémie mondiale du COVID-19. Le nombre de logements vacants avait augmenté en 2020 à cause principalement du confinement instauré.

De 808 logements vacants en janvier 2021 nous sommes revenus à 640 logements vacants en décembre 2021.

Cette diminution de 168 vacants est due à la mobilisation et à l’engagement de l’ensemble des équipes, et à l’adaptation dont nous avons su faire preuve avec nos partenaires.

Les chiffres en janvier 2021 sont supérieurs à décembre 2020, en raison de l’intégration des deux SEM de VIRE et de BAYEUX (759 en décembre 2020 à 808 en janvier 2021).

Nombre de logements vacants au 31/12

759

en 2020

640

en 2021

Taux de vacance au 31/12

6,3 %

en 2020

4,9 %

en 2021

Taux de vacance technique 31/12

3,4 %

en 2020

2,5 %

en 2021

Plusieurs actions mises en place en 2021 pour lutter contre la vacance

Plusieurs actions et initiatives expliquent cette baisse de la vacance malgré un contexte contraint par le COVID :

Un travail important réalisé sur certains territoires

Au-delà des actions « globales » précédemment énoncées, certaines actions spécifiques ont été mises en place sur les territoires de Caen la Mer et du Bocage.

80 logements situés Rue Jules Ferry, à Fleury-sur-Orne

Sur le territoire de Caen la Mer

La commercialisation des logements situés à Hérouville Saint-Clair reste plus complexe que pour le reste du territoire de Caen la Mer.

Nous sommes toujours confrontés au déficit d’image de certains quartiers hérouvillais, lié à un sentiment d’insécurité. Le travail partenarial mis en place avec la ville sur ces sujets nous a permis de commencer à réduire la vacance (à poursuivre et à accentuer en 2022).

Sur le Bocage et le secteur de la Suisse-Normande

Depuis 2 ans, un travail conséquent a été mené à Vire pour remettre en état les plus anciens logements vacants, parfois très dégradés.

D’autre part, des partenariats avec les collectivités ont été initiés pour assurer un meilleur traitement de la demande de logement dans des zones majoritairement détendues.

Linda et Medhi, locataires dans le quartier historique Rethel à Caen

4,8

millions d’€ de perte financière

14

jours de perte sur vacants en nombre de jours de loyers

Évolution de la vacance

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